Dans les faits, il s’agit de mettre en place un système permettant de réaliser une mise à l’échelle transitoire. Cela dans l’attente et afin de pouvoir mieux accueillir l’arrivée de la version 2.0. Le tout en passant par un système présenté sous la forme de « sharding + rollup » qui devrait permettre une scalabilité bien supérieure sur la version actuelle de la blockchain Ethereum.
« Mais la feuille de route a un artefact involontaire intéressant : les applications partitionnées (sharded) nécessitent par elles-mêmes la phase 2. Mais les rollups partitionnés n’ont besoin que de la phase 1 (…). Nous aurons donc bientôt tous les outils dont nous avons besoin pour un débit de 6400x ! » – Vitalik Buterin
Un effet d’annonce quelque peu technique qui nécessite une mise en place pratique pour en tester la faisabilité. Mais cela pourrait permettre de trouver une solution à la gestion des frais de transaction qui commencent à atteindre un seuil critique.