Une pratique qui est loin d’être isolée dans le domaine. De nombreux artistes se penchent actuellement sur ce nouvel outil au service de leurs inspirations diverses. On peut citer le français Alex Masmej qui a récemment récolté l’équivalent de 20 000$ en vendant des jetons à son nom (ALEX). Chaque acheteur ayant ensuite la possibilité d’influencer ses choix au quotidien.
Un marché très prometteur
Et malgré son aspect quelque peu loufoque, ce marché des jetons de collection à destination de l’art contemporain rencontre le soutien d’acteurs importants de la communauté crypto. Ces derniers y voient un potentiel de développement à la hauteur des services qu’ils apportent et peuvent encore apporter dans ce domaine.
L’un des principaux défenseurs de cette nouvelle application de la blockchain à l’art numérique n’est autre que le maximaliste du Bitcoin (BTC) Anthony Pompliano. Ce dernier voyant dans ce marché d’avenir un potentiel « d’augmentation de 6000x » par rapport à sa capitalisation actuelle qu’il estime inférieure à 10 millions de dollars.
« Cette transition vers un monde de l’art numérique n’est pas une question de savoir si elle se produira, mais plutôt quand. Je crois personnellement que la capitalisation boursière de l’art numérique augmentera pour devenir supérieure à la capitalisation boursière de l’art physique. » – A Pompliano
Des chiffres qui permettent de rêver
Une affirmation en forme de prédiction qui s’appuie sur des chiffres qui permettent de rêver. En effet, le marché de l’art dit « traditionnel » représenterait à lui seul un montant de 65 milliards de dollars sur les dernières années. Ce qui, à titre de comparaison, surpasse le S&P 500 de plus de 180% sur la même période.